La veste d’homme d’Etat et de Leader politique n’est souvent pas juste avec tout le monde. Même si certains sans étoffe nécessaire,  s’agitent toujours pour la porter, pour donner les coups à leurs ennemis, pour diviser,  trahir et détruire, sans  pour autant construire.

Contrairement à ces agités et aventuriers politiques et fossoyeurs de la République, le député du premier siège du département de Tsamba Magotsi, Guy Bertrand Mapangou fait montre d’homme d’Etat qui, souvent, prend les coups et sait véritablement les amortir. Cela de par sa capacité à reconstruire, à rassembler, à recoller quand les autres déchirent. Il sait également être fidèle, car il ne trahit jamais. Ce sont autant des valeurs et de qualités qui font de lui un homme politique qui compte pour le régime en place dans la province de la Ngounié et dans d’autres localités du Gabon. D’autant plus que l’homme dispose d’un réseau relationnel qui a des tentacules dans presque toutes les provinces du Gabon.

C’est d’ailleurs ce qui fait peur à tous les apprentis sorciers et charlatans politiques de sa localité. Ces derniers, ayant à l’idée l’éventuel retour de Guy-Bertrand  aux affaires, usent maladroitement de toutes les manœuvres dilatoires pour  ternir son image auprès de ceux qui ont la décision. Notamment le président de la République, Ali Bongo Ondimba.  Tous ces chercheurs affamés de strapontins ne se sont pas privés dans leur basse besogne, de lui prêter des intentions pour le fauteuil présidentiel. Comme à leur habitude, ces  danseurs et danseuses au rythme de leur ventre ont pondus un document indigeste, prétextant que Guy-Bé alias Mukulungu, comme aiment l’appeler les vieux du village,  aurait présenté son ambition d’être candidat à l’élection présidentielle en 2023. D’après ces accoucheurs des conjectures et professionnels des intrigues, mis à nu par leur trépieds Zidor Zang, «  c’est désormais officiel dans les coulisses, le fils de Fougamou va tenter sa chance pour la présidentielle de 2023 et il se prépare silencieusement ». A bien y observer, on constate même que la maîtrise de la langue de Molière nous fait encore défaut. En effet, quand une annonce est officielle, elle ne peut plus être dans les coulisses, première contradiction. Secundo, nos informateurs ne nous disent pas exactement à quel moment et qui « le fils de Fougamou » a présenté son ambition d’être candidat en 2023. Tertio, les auteurs de ce chiffon, manquent de bon sens. De par leurs faits et gestes, ils montrent aux yeux de tous que leur présence au gouvernement où dans d’autres sphères de la haute l’administration, n’est rien d’autre que d’instaurer une logique aux antipodes de la politique du numéro un Gabonais, Ali Bongo Ondimba. Prônant le partage, la solidarité et le vivre ensemble. Pour eux, c’est diviser, tuer, mentir  et trahir, pour régner au nom du président de la République. Mais, que ces gens-là sachent que leurs jours sont comptés, bientôt ils seront remis dans leurs petites jupettes et petits souliers de commanditaires des crimes rituels.

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