L’homme du respect et de la rigueur
A l’approche du déroulement du scrutin en vue d’élire le nouveau Président du Réseau National des journalistes indépendants (RENAJl), l’engouement gagne les milieux médiatiques. Au Réseau ational des journalistes indépendants (RENAJI), on se prépare activement à mettre en place un bureau directeur. D’ordinaire, la perspective de regrouper les confrères (toutes catégories confondues) rencontre l’indifférence chez les uns et les autres.
Cette fois, la corporation se mobilise. La commission chargée des opérations de vote, à pied d’œuvre depuis quelques semaines est littéralement assiégée. En effet, les journalistes, qu’ils soient du secteur privé ou du service public, prennent d’assaut le siège de la commission, objectif marquer leurs ad’hésions.
D’ores et déjà, le nom d’un candidat émerge du lot. Jean-Claude Afa’a, Journaliste responsable du journal l’objectif présente le meilleur profil pour obtenir les voix des électeurs. Il est vrai qu’une élection n’est jamais gagnée à l’avance. Cependant, il se dégage une majorité prête à le porter à la tête du RENAJI.
L’unanimité autour du nom de Jean-Claude Afa’a n’est pas fortuite. Bilan positif du bureau sortant ayant mis l’accent sur la solidarité, l’entraide et une réelle confraternité. Le RENAJI est intervenu en faveur d’un confrère en difficulté. En outre, il a porté assistance à la famille endeuillée suite au décès de l’épouse d’un confrère. Il s’agit pour le nouveau directoire de consolider ces acquis et créer les conditions d’un cadre optimal à ses membres. Un accent particulier sera mis sur la formation et l’aide à la création d’entreprise. Telles sont les ambitions de Jean-Claude Afa’a s’il est élu par ses pairs à la tête de l’association qui a entrepris des démarches administratives auprès du ministère de l’Intérieur afin d’obtenir sa légalisation. « Nous sommes sur la bonne voie » rassurait-il lors d’une de ses interventions pour la vision dudit Réseau.
Pour le moins que l’on puisse dire, c’est juste une question d’heures, samedi 1er Août, les urnes parleront.
