Dans un communiqué récent, le membre du gouvernement a annoncé l’ajournement des travaux en atelier jusqu’au lundi 8 avril 2024. Cependant, cette décision a rencontré une réaction mitigée de la part du bureau du dialogue national, représenté par Mgr Jean Bernard ASSECKO MVE, qui a pointé du doigt un déficit de communication à l’origine de cette incompréhension.

La presse s’est emparée de cette nouvelle, alimentant ainsi des débats divers au sein de l’opinion publique, mettant en lumière des critiques concernant l’impréparation et la gestion floue de la situation.

Selon le porte-parole du bureau du dialogue national, cette période d’intervalle jusqu’au lundi 8 avril 2024 sera mise à profit pour des séances de formation et de remise à niveau des participants sur le management des organisations. Ces sessions visent principalement les responsables des commissions et des sous-commissions, offrant ainsi des moments d’ouverture au savoir et de renforcement des capacités.

Ces efforts préliminaires s’inscrivent dans le cadre du lancement officiel des travaux en commissions, toujours programmé pour le lundi 8 mars 2024. Malgré cet ajournement, le chronogramme reste inchangé, et selon Mgr Jean Bernard ASSECKO MVE, le déroulé officiel se poursuit sans encombre.

Cette situation soulève ainsi des questions quant à la communication entre les différentes parties prenantes et met en lumière l’importance d’une coordination efficace pour éviter toute confusion à l’avenir. En attendant, l’opinion publique reste en attente des prochains développements et de l’impact que cela pourrait avoir sur le processus de dialogue national.