L’ancien premier ministre Julien Nkoghe Bekale s’est déclaré en faveur des points du code civil gabonais qui constituent une évolution législative. Sur ses comptes Twitter et Facebook, Selon l’ancien premier ministre, »Dans toutes les sociétés, il y a des conservateurs et des progressistes. Je suis du côté des progressistes. » a indiqué l’ancien premier ministre Julien Nkoghe Bekale. Les points de modification du code civil gabonais constituent une évolution législative positive pour notre pays.

L’élu de la commune de Ntoum soutien ainsi les évolutions recommandées par le gouvernement en faveur des projets de modification du code civil proposés pour plus d’égalité femme/homme. Comme lorsqu’il était à la tête du gouvernement, avait formulé plusieurs propositions de lois inédites et évolutives que le Parlement avait approuvé.

En effet, notre code civil comporte plusieurs inégalités envers la gente féminine que le gouvernement de Rose Christiane Ossouka Raponda propose de corriger pour être plus conforme à la réalité. Il paraît donc nécessaire que le constituant répare ces injustices dont les femmes sont très souvent victimes.

Sur le plan du droit, la question de l’égalité des sexes est perçue comme une question des droits fondamentaux qui proclame l’égalité de tous les êtres humains.

Le Gabon a quasiment signé toutes les conventions internationales liées à l’égalité homme- femme. Il est également signataire de la Convention de Lutte contre toutes les discriminations faites aux Femmes(CEDEF) sans avoir émis de réserve. Cela signifie que notre pays est invité à mettre en pratique toutes les dispositions et recommandations des différentes conventions.

Donc pour pouvoir avancer sur le statut de la femme il faut légiférer.

Notons que cette réforme qui est proposée aujourd’hui par le gouvernement est une réforme qui a pour objectif d’améliorer de manière significative le statut de la femme, de régler la question de l’égalité homme femme, et de lever dans notre corpus juridique toutes les dispositions qui la discriminent.