Après plusieurs actions menées à travers une caravane nationale à Libreville et à l’intérieur du pays pour la promotion de la paix, du vivre-ensemble, héritage laissé par nos pères de la Nation; Léon Mba, Omar Bongo, et aujourd’hui Ali Bongo Ondimba, c’est à la faveur d’un thème assez évocateur « Pour garantir la paix, préservons nos institutions », que l‘ASP (association Les soldats de la paix), a offert vendredi 25 février 2022 à Libreville un déjeuner de presse aux hommes et femmes des médias. Cette rencontre s’est déroulée en presence de l’honnorable Alain Simplice Boungoueres Député du 2ème siege de l’Ogoulou et parrain de ladite association, de plusieurs membres et invités.

Organisé par l’association Les Soldats de la Paix, cette rencontre s’est déroulée en présence de Rodrigue Maïssa Nkoma président de ladite association, à ses côtés l’honorable Alain Simplice Boungoueres député du 2ème siège du département de l’Ogoulou, parrain de l’association, des membres de l’association et plusieurs personnalités conviées pour la circonstance. Cest donc autour d’un repas que les Soldats de la Paix et la presse dans son ensemble ont scellé le pacte de la promotion de la paix gage de la stabilité des institutions, de la culture du vivre-ensemble et du développement du Gabon. L’événement avait pour cadre le restaurant le petit Chalut situé au quartier « glass » dans le cinquième arrondissement de la commune de Libreville.

Pour le moins que l’on puisse dire, l’occasion a été unique et assez conviviale, face aux hommes et femmes de médias, les organisateurs ont su attirer l’attention de ces derniers sur leur responsabilité pour la promotion de la paix gage de la stabilité de nos institutions et du développement du pays. La diffusion des informations, la sensibilisation et la censure font partir des missions essentielles de la presse en tant que 4e pouvoir. Aussi, étant considérée comme le baromètre d’évaluation dans un État démocratique comme le Gabon, la presse dans son rôle non négligeable, pour coller aux objectifs de l’association les Soldats de la Paix, “Promotrice de la culture de la paix et de la non-violence”, doit pleinement jouer son rôle sans aucune contrainte pour la stabilité de la société.

Ce déjeuner de presse a aussi permis de rappeler le rôle de la presse considérée comme le 4e pouvoir, avec pour mission: la sensibilisation et l’éducation des masses.

Pour Rodrigue Maïssa Nkoma, Président de l’association « La presse en tant que 4e pouvoir à un rôle important à jouer dans la sensibilisation, le relai des informations et la censure. Poursuivant, notre Association les Soldats de la Paix s’est donnée une mission, celle de «Promouvoir la culture de la paix et de la non non-violence. La presse est le baromètre d’évaluation dans un Etat démocratique comme le Gabon, et votre rôle est non négligeable. La Cour Constitutionnelle a aujourd’hui 30 ans, une expérience qui fait école dans le monde entier. Nous pouvons affirmer sans risque de nous tromper, que c’est 30 ans au service de la Paix et de la stabilité du Gabon. » a-t-il déclaré.

Il convient de noter en exemple pour illustrer le vivre-ensemble, la paix et la stabilité au niveau de nos institutions, que « la Cour Constitutionnelle a aujourd’hui 30 ans, une expérience qui fait école dans le monde entier. Nous pouvons affirmer sans risque de nous tromper, 30 ans au service de la Paix et de la stabilité du Gabon. D’où notre étonnement sur le mutisme et le relais des messages qui incitent à l’insurrection, et donc à la mobilisation des énergies négatives pour déstabiliser les institutions. Notre approche se veut pédagogique, pas de blâme mais juste interpellé sur la vigilance, car chacun de nous à une responsabilité devant les hommes et devant l’Histoire. Nous vous demandons de faire correctement votre travail en toute impartialité et en toute objectivité, il vous revient également la responsabilité de censurer des propos malveillants, tribaliste et xénophobe.” A exprimé l’honnorable Alain Simplice Boungoueres Député du 2ème siege de l’Ogoulou et parrain de l’Association les Soldats de la Paix.

Le Parrain de l’ASP en a également profité pour « Marquer sa profonde désolation contre les invectives d’une certaine classe politique dite de l’opposition radicale envers les institutions et le regard muet de la communauté internationale. “Nous marquons notre étonnement devant le mutisme de la communauté internationale devant les propos du frère notre aîné Jean Ping qui de part son statut d’ancien président de la Commission de l’Union Africaine a une obligation de réserve mais qui se donne la liberté d’inciter les populations à bafouer les institutions. Cela contraste avec sa position dans la situation qui sévit en Ukraine ou le même Jean Ping s’insurge contre la guerre et appelle tous les pseudo-activistes gabonais a se mobiliser contre la Russie. Est-ce cette attitude que nous attendons de lui ? Ce dernier a fait une sortie le week-end dernier comme bons nombres de personnalités politiques qui incitent les populations gabonaise à la révolte contre les institutions de la république qui fonctionnent normalement » a-t-il lancé.

Notons que, selon les Nations Unies, la culture de la Paix est un ensemble de valeurs, de comportements et de modes de vie qui rejettent la violence et préviennent les conflits en s’attaquant à leurs racines par le dialogue et les négociations entre les individus, les groupes et les États. Pour construire la culture de la Paix, Cela passe inéluctablement par l’adhésion aux principes de liberté, de justice, de démocratie, de tolérance, de solidarité, de coopération, de pluralisme, de la diversité culturelle, du dialogue et de la compréhension à tous les niveaux de la société et entre les nations.