C’est à ce moment que le jeune Moundounga sera identifié et, etant agent dans une sous-traitance sur les sites d’Olam Moutassu, la police ne rencontrera donc pas de difficultés à lui mettre la main dessus.

Ainsi, faisant son mea-culpa, en larme, Moundounga va reconnaître son erreur et implorer le pardon des responsables d’Olam pour le faire travailler, même gratuitement, pour réparer les dommages qu’il a causés à la société, bien implantée dans la Ngounie, la province dont Mouila est la capitale.

Au passage, rappelons que le coffre fort, pour lequel Vann Rucel Moundounga pourrait séjourner en prison, ne contenait finalement aucun centime.