Depuis plusieurs semaines, Finam, la financière africaine de micro-projets, est la cible d’une campagne de diffamation injuste et pernicieuse. Avec plus de 150.000 clients particuliers et professionnels et 19 ans d’existence, elle a été accusée à tort de traiter son personnel comme des esclaves et de favoriser les étrangers aux postes de responsabilité. Ces allégations sont non seulement fausses mais aussi nuisibles à la réputation et à la crédibilité de Finam.

Selon les résultats de nos enquêtes au ministère de l’économie et au ministère du travail, contrairement aux rumeurs malveillantes, Finam accorde une grande importance à l’employabilité nationale et à l’offre de services de qualité. Les nationaux ne sont pas seulement présents au sein du personnel, mais occupent également des postes de responsabilité, démontrant ainsi l’engagement de l’entreprise envers la préférence nationale.

En tant que premier établissement de microfinance de 2ème catégorie au Gabon, agréé par le Ministère de l’Économie et des Finances, Finam se conforme rigoureusement aux dispositions du code du travail. Elle favorise un environnement où le personnel est libre de s’exprimer à travers son délégué du personnel, revendiquant ainsi l’amélioration de leurs conditions de travail.

Il est crucial de faire la distinction entre les faits et les calomnies orchestrées par des individus mal intentionnés. Finam demeure un partenaire engagé de l’économie gabonaise, contribuant au développement socio-économique du pays tout en respectant les normes et les valeurs éthiques.

Il est grand temps de mettre fin à cette campagne de diffamation et de soutenir Finam dans sa mission de fournir des services financiers inclusifs et de qualité, tout en promouvant l’emploi local et le développement durable à travers ses services financiers, les distributeurs automatiques de billets et l’application Finam Mobile, disponible dans les 9 provinces du Gabon.

La Rédaction.