Estelle Ondo est la Présidente du mouvement « J’Aime Oyem »
Le marché local de la commune d’Oyem, dans le septentrion, sera très bientôt pourvu en fruits et légumes divers (maïs, gombo, choux fleur, pastèques, courgettes, etc.), produits localement et de manière bio par les exploitations de la ferme agropastorale du Mouvement « J’Aime Oyem », dont le parlementaire Estelle Ondo est la Présidente.
En effet lancer, il y’a quelques mois, par le député du deuxième arrondissement de la commune d’Oyem, dans le cadre de la lutte contre la dépendance agricole extérieure du Gabon en produits vivriers, le concept « J’Aime Oyem Agriculture » participe effectivement au développement de notre agriculteur. Prônant pour un retour à la terre, le concept qui dispose àcet effet, dans la capitale provinciale du Woleu Ntem, plusieurs planches d’expérimentation agricoles, prône pour une agriculture locale de produits bio dans le respect de la nature et de l’environnement. L’initiative du parlementaire a également pour vocation, la lutte contre le chômage des jeunes et des femmes, et participe à la lutte contre la pauvreté en milieu rural. « J’Aime Oyem Agriculture » a pour vision d’œuvrer pour l’autosuffisance alimentaire dans notre pays. « Nous estimons qu’au Gabon, nous avons du potentiel pour que nous puissions avoir une politique d’autosuffisance au niveau de notre alimentation », indique la promotrice Estelle Ondo, dont le slogan : « manger local, manger bio » est une exhortation à une prise de conscience collective des Gabonais au moment où l’État ne peut plus tout assumer à lui tout seul. L’ancien membre du gouvernement à travers cette initiative d’un retour à la terre gagnant, répond favorablement à l’appel du chef de l’État, Ali Bongo Ondimba à travers l’axe n8 « Mieux responsabiliser les Gabonais et les pousser à être plus entreprenants », des Axes stratégiques de la politique de l’Avenir en confiance du Gabon, dont Estelle Ondo tend à la matérialisation de la vision présidentielle par le concept « J’Aime Oyem Agricole ». (Sources Echos de Missimba).
Par Emeline A. N’guéssan