S’illustrant par la plus belle manière en menant un combat politique salutaire pour le bien-être des populations de la commune d’Oyem – dans le Nord du pays – Estelle Ondo, dont l’action politique n’a pas d’égale dans le giron politique de la capitale du septentrion, démontre parfaitement de la justesse de la métaphore qui dit :  » Ce que femme veut, Dieu le veut « .
Le Dieu en question étant le créateur suprême de l’univers. Et par lequel tout acte posé en faveur de l’Amour du prochain, relève de la divinité céleste. Défenseur des causes justes, Estelle Ondo est aujourd’hui la cible d’acteurs politiques locaux aux intentions aigres et divisionnistes. Tout comme le schéma politique de leur funeste parcours a été basé sur l’intrigue, le culte decla personnalité, l’égocentrisme, le reproche sur le clanisme et le marchandage politique, etc. Tout chose qui corrobore la pensée du poète français, Paul Claudel :  » Heureux qui est dépouillé injustement, car il n’a plus rien à craindre de la justice « . En effet, le plaidoyer du député de la commune d’Oyem milite contre toute forme d’hypocrisie que d’aucuns ont instaurer en système de prédominance et d’achat de conscience de l’approche humaine dans la ville d’Oyem. La création par d’illustres fils et filles de la contrée du Mouvement  » J’aime Oyem «  obéit, manifestement, à cette volonté qui appel à une prise de conscience collective et de restauration de valeurs morales et intellectuelles. Le savoir-faire et le faire savoir. Tout comme le  » messi, Jésus-Christ « , a travers les saintes écritures, Estelle Ondo se trouve injustement condamné, diffamé, attaqué de toutes parts par des  » râteliers «  tout simplement parce quelle dérange les pratiques d’une époque de  » clochardisation «  des populations, aujourd’hui révolue. De la pensée unique entretenue des années durant dans la commune d’Oyem par une castre de personnes dont les agissements dans les ténèbres ne cadrent pas avec la vision du Gabon progressiste d’aujourd’hui.
Thierry Mocktar