Le Maire de la Commune de Libreville, Leandre Nzue, installé ici par le ministre de l’Intérieur Lambert Noël Mattha, serait victime dune machination pour l’évincer de la présidence du Conseil municipal

Depuis quelques temps, l’Hôtel de ville de Libreville est le théâtre des coups bas, peaux de bananes , suspicions, délations et autres ragots à l’endroit du Maire central Leandre Nzue. Une situation qui traduit le dessein des manipulateurs tapis dans l’ombre qui veulent à tout prix freiner, à défaut d’anéantir les ambitions du président du Conseil municipal de la Commune de Libreville. Celles de transformer positivement la capitale gabonaise.
Qui en veut donc tant à Leandre Nzue au point de fomenter les coups tordus contre lui ? La réponse à cette question demeure encore une énigme qui sera connue dans les prochains jours.
En effet, depuis quelques temps, le Maire de la commune de Libreville et ses proches sont l’objet d’une cabale dont les desseins seraient la mise à l’écart par tous les moyens de ces « empêcheurs de tourner en rond ». Afin d’atteindre la véritable cible, les pourfendeurs de Leandre Nzue s’en sont pris à ses proches collaborateurs. C’est le cas entre autre du tout nouveau Inspecteur général municipal (IGM) incarcéré depuis le début du week-end dernier dans une unité d’enquête militaire. À croire que Christian Engo, puisque c’est de lui qu’il s’agit serait soupçonné d’atteinte à la sécurité de l’État ou encore d’un crime qui milite pour une intervention de la Direction générale de la Contre-ingérence et la Sécurité militaire, communément appelée B2.
Si les motifs de d’interpellation de l’IGM qui a à peine trois mois dans ses nouvelles fonctions ne sont toujours pas connus , l’on peut tout de même spéculer sur ce qui peut conduire à une garde à vue d’un cadre supérieur de la Mairie de Libreville. Selon plusieurs hypothèses émises par certains agents de l’Hôtel de ville, l’IGM serait soupçonné d’avoir détourné d’énormes sommes d’argent frais, avec la bénédiction de son patron de Maire. C’est donc Leandre Nzue qui serait la véritable cible de cette affaire qui ressemble plus à une opération de règlement de comptes.

L’ancien Inspecteur général municipal Armand Dagracias serait indexé par de nombreux agents de mettre les bâtons dans les roues de Leandre Nzue

Règlement de comptes, puisque depuis le « limogeage-démission » de l’ancien Inspecteur général d’Armand Dagracias et la mutation du Maire adjoint Karim Nzeingui déchu de la gestion des marchés, la guerre semble ouverte. Et les deux anciens hommes forts de la mairie de Libreville auraient décidé de polluer l’atmosphère et à pourrir la vie à Leandre Nzue. Dagracias qui maîtrise mieux que quiconque les entrées financières de la mairie de Libreville pour avoir géré l’Inspection générale, considérée comme la mamelle financière de l’institution, ce dernier aurait, aux dires de certains éléments de la boîte, présenter les chiffres en terme financier qui auraient donné les vertiges à certains décideurs qui ont décidé de voir de près et un peu plus clair cette affaire. D’où l’intervention du B2.
Mais l’actuel IGM a-t-il vraiment eu le temps d’amasser tout ce tresor de guerre en si peu de temps et par les temps de crise liée au Corona virus qui courent ? Aux enquêteurs du B2 de démêler l’aiguille de l’écheveau.
Quoi qu’on dise, Leandre Nzue serait actuellement un gibier à manger . Avec pour objectif final, son son limogeage de la présidence du Conseil municipal de Libreville, à défaut de le voir descendre sans délais à ‘’sans famille’’. C’est dans cette logique que la machine à décourager les bonnes volontés est mise en branle. Mais la question que les uns et autres se posent est celle de savoir pourquoi Leandre Nzue dérange tant au point de fomenter une destitution aux allures de règlement de comptes au plus haut sommet de l’État. A chacun de trouver une raison plausible en attendant la fin de ce bal de vampires. S/l’objectif