Aux nombreuses attentes légitimes des uns et des autres, Otounga Ossibadjouo prône un développement autocentré. La politique est un long fleuve dont les débuts étaient marqués par des pionniers tels que Mgr Okinda, Lemboumba Lepandou, Toungui. Okondja ayant bénéficié de la politique de l’Emergence, le meilleur l’attend.

Le développement d’une ville passe par son électrification. C’est un impératif auquel l’Etat est soumis et le gouvernement déploie d’importants moyens en vue de satisfaire le plus grand nombre. Okondja n’est pas en reste. Dans ce vaste programme de développement, le chef-lieu de la Sébé-Brikolo bénéficie des attentions des plus hautes autorités de notre pays.
Okondja compte dix-sept quartiers. Une opération d’électrification ayant débuté depuis quelques mois, plus précisément à la mi-juin 2020, certains d’entre eux sont pourvus d’électricité. En tout cas, peu à peu, on peut observer une amélioration de la situation. Rappelons que, face aux difficultés qu’éprouvent les habitants, le maire de la commune d’Okondja a saisi Mathias Otounga Ossibadjouo, en sa qualité de fils et de député. L’édile a sollicité qu’il «prête main forte à la municipalité dans le cadre d’un vaste programme d’électrification de ladite ville. » Pour qui connaît Otounga Ossibadjouo, il n’a pas hésité à donné une suite favorable à la requête.

L’éclosion de Mathias OTOUNGA OSSIBADJOUO en tant que leader politique de premier plan de cette localité a été marqué par un regain économique enclenché avec la restauration de la plus prestigieuse plantation de café du Gabon: la plantation de “café Alanga’’. Ce qui a généré plusieurs emplois encore actifs aujourd’hui.

Plus que jamais, l’avènement politique de Mathias OTOUNGA OSSIBADJOUO se situe comme le point de départ du développement économique d’Okondja. En effet, sous son impulsion, ou grâce à son leadership politique, le département a enregistré l’installation de nombreuses sociétés comme Nouvelle Gabon Mining et ASUAN pour l’industrie minière, et Thaurian pour la filière forêt/bois, avec plus de mille (1000) emplois déjà générés, et des centaines d’autres en perspective à la Nouvelle Gabon Mining qui compte à elle seule déjà plus de trois cent cinquante 350 emplois à sa première année de production.

Il est vrai qu’en ce qui concerne la NGM, David Ossibadjouo s’est personnellement impliqué dans cette réalisation. Ce qui a soulevé quelques incompréhensions. L’intéressé les a vite dissipées en déclarant qu’il ne s’agit pas d’un «monopole familial, mais une réussite collective. »Il est à noter que la NGM et le gouvernement ont signé une convention pour le démarrage de l’exploitation commerciale du gisement de manganèse d’Okondja. Le groupe à capitaux chinois et indiens, en partenariat avec l’Etat gabonais, est le deuxième opérateur du pays derrière COMILOG.

Membre du gouvernement, Otounga Ossibadjouo compte à son actif la réalisation au bénéfice de la jeunesse d’Okondja d’un plateau sportif multimodal, la réhabilitation du stade municipal, l’organisation de plusieurs évènements à caractère social (éducatifs, sportifs, culturels). On dénombre plusieurs caravanes médicales, des dons en médicaments (réguliers), en ambulances, et respirateurs pour le centre médical d’Okondja.

Par ailleurs, il est à noter que son passage en tant que Directeur Général de la CAISTAB avait permis de replacer le Gabon sur la scène des pays producteurs de café cacao, et permis la relance de cette filière au Gabon sur l’ensemble du territoire nationale avec des niveaux d’exportations, de transformations et de surfaces cultivées jamais atteints. De centaines de plantations de café et de cacao furent rénovées et réhabilitées. D’autres furent créées grâce à une politique incitative de distribution de plants et d’accompagnement des agriculteurs qui engendra plus d’un millier d’emplois directs et indirects.

Il fait partie des fidèles du président Ali Bongo Ondimba. Le poste qu’il occupe est emblématique. La Décentralisation, la Cohésion sociale et le Développement des territoires prend en compte des domaines multiformes dont le dénominateur est le développement harmonieux du Gabon, un pays béni des dieux. En mettant l’accent sur l’essentiel, en travaillant d’arrache-pied, le pays peut et doit relever le défi de l’émergence.
Otounga Ossibadjouo répète souvent cette phrase : « Okondja a bénéficié des bienfaits sous le magistère du président Ali Bongo Ondimba. Et reste dans cette élan pour l’avenir … » En effet, depuis son avènement à la magistrature suprême, il est l’artisan de la route Akiéni-Okondja, de l’implantation des sociétés qui contribuent à la lutte contre le chômage et l’exode rurale.

A Okondja et dans le département de la Sébé-Brikolo comme partout ailleurs au Gabon, les plus hautes autorités mettent l’accent sur le développement, la promotion de la jeunesse et la femme. Sur ce plan, la politique de l’Emergence reste axée sur les mêmes objectifs. Depuis ces dix dernières années Okondja compte des réalisations sur lesquelles nous ne reviendrons pas ici.
La jeunesse, impatiente, revendique toujours davantage. Ce qui est légitime. Cependant, le développement n’est pas une affaire de court terme. Il implique tout le monde, pas seulement les pouvoirs publics comme certains veulent le faire croire. Par ailleurs, la politique est un travail de longue haleine. L’histoire d’Okondja le démontre. Elle a mis en orbite d’éminents fils, parmi lesquels Mgr Jérôme Okinda, Jean-Pierre Lemboumba Lepandou, Paul Toungui. Ces personnalités ont donné le meilleur d’eux-mêmes. L’œuvre est toujours perfectible et seul l’homme est au cœur du développement. A travers la «cohésion sociale » prônée par le Chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba. Une politique de décentralisation est en train de prendre corps au Gabon. Okondja comme d’autres localités du pays n’en sera pas exclu. Tel est le défi que doit relever Mathias Otounga Ossibadjouo !

Par Mabimba Joseph , Journaliste Citoyen