A son avènement à la magistrature suprême, le président de la République, Ali Bongo Ondimba, dans son engagement de conduire le Gabon vers son progrès, a mis en place des mécanismes de lutte contre les inégalités, la pauvreté et l’exclusion pour soutenir le développement économique. Au lieu de contribuer au développement du pays, ces entités ont été transformées en sources d’enrichissement illicite par de nombreux compatriotes. Au point de voir, en la fermeture ou le redressement de certaines de ses structures, une sorte de frein à leur expansion frauduleuse au sein de la société gabonaise.

C’est le cas notamment des gabegies de gestion érigées au CGC (Conseil gabonais des chargeurs) et au FNAS (Fonds national d’aide sociale), pour ne citer que ces deux entités. Pour avoir reçu mission de redresser pour l’une, et liquider pour l’autre, Félix Onkéya est aujourd’hui considéré comme l’homme par qui vient le malheur des autres. En quelque sorte l’empêcheur de tourner en rond. En effet, le passage dans la rigueur et la moralité de ce compatriote fait actuellement frissonner tous les charlatans financiers du pays qui ont été la gestion du FNAS et du CGC au moment oùdes audits formels sont en attente. Une manière de leur faire entendre que l’homme, avec la méthode, ne serait pas prêt à manger de ce pain rassis qui consiste à fossoyeur les caisses de entités publiques de l’Etat. Ses détracteurs d’aujourd’hui qui le savent devraient pourtant le comprendre depuis qu’il a occupé, dès l’âge de 25 ans, les fonctions de Directeur financier à l’Oprag (Office des ports et rades du Gabon). Ce n’est donc à l’agence de la sagesse qu’il viendra à dévier de sa trajectoire initiale pour convertir en fossoyeur des finances publiques, comme l’indique de nombreux concitoyens. « Pour être né voleur il faut être né avec ses germes », dit l’adage. Ce qui ne semble pas être le cas pour Félix Onkéya.

A propos du FNAS, dont le journal Echos du nord confidentiel, dans sa parution n°004 du 17 decembre 2020 a fait écho, Félix Onkéya n’a fait que régler un dossier qui lui a été transmis par le Ministre de l’économie, parce que le liquidateur nommé sur des bases ethniques et tribales se trouvait être incompétent dans le traitement du dossier. Car ne maîtrisant pas les rouages d’un redressement juridique ou de liquidation d’entreprise. Ce que souhaitent les ex employés, c’est que ce liquidateur véreux vienne justifier tous les fonds qui étaient dans les comptes et utiliser au détriment des salariés. Il est à noter que le Comité technique mis en place pour régler ce dossier n’a perçu que 5 millions de francs cfa de fonds transactionnel, comme l’atteste les écritures du Tresor public. Et, Félix Onkéya n’a perçu qu’un million de francs cfa au lieu de 50 millions comme pompeusement écrit par ce journal sur la base d’allégations, sans en apporter la moindre preuve. Qu’est ce qui motive cet acharnement sur la personne de Félix Onkéya ? Que l’on cesse alors de pervertir et vouloir distraire les gabonais de la réalité ou de ce qui n’a pas lieu d’être. Car ce ne sont pas ceux qui ont l’ADN des malversations qui viendront porté des accusations infondées sur des honnêtes citoyens. Avec en objectif de dénigrer la probité morale de ces derniers. A propos du CGC, tout le monde remarque, avec enthousiasme, que cette entreprise était en faillite et sur la voie d’être supprimée par le gouvernement pour mauvaise gestion. C’est fort heureusement la venue de Félix Onkéya qui permet le redressement du Conseil gabonais des chargeurs. Les véritables fossoyeurs de cette entreprise sont bien connus. Lorsque l’on ouvrira les registres de la gestion du CGC, il y en aura nombreux qui chercheront à disparaître du globe préviennent certains analystes. Laurence Boukou que l’on veut présenter comme étant une victime de l’orthodoxie et des méthodes de rigueur instaurées par Félix Onkéya, est pourtant reconnue de bon nombre de méfaits. Un jour viendra où elle répondra de ses actes, indiquent certaines sources. S’agissant enfin de l’antenne CGC de Paris, celle-ci est gérée en toute transparence exigée et dans les normes par un Conseil d’administration qui se réunit en Assemblée générale. Alors, si l’on veut nuire en la personne de Félix Onkéya – en qui le gouvernement gabonais a confié une noble et exaltante mission – ce n’est pas sur des allégations infondées qu’il faudrait y aller. Mais plutôt sur du concret. Ou bien parce que certains ont peur qu’il ne remonte à la surface les magouilles et autres malversations qui ont se ont été instaurées dans la gestion du FNAS et du CGC que certains ont monté cette odieuse cabale à son encontre.

Par Virgil Kounda