Alors que les épreuves écrites du baccalauréat session 2021-2022 s’ouvrent le 14 juin prochain sur toute l’étendue du territoire national, chaque chef-lieu de département doté d’un établissement scolaire public d’enseignement secondaire avec niveau Terminal envoie ses candidats vers les capitales provinciales qui abritent les différents centres d’examen. À Moabi, ceux du lycée public ÉDOUARD Mossot (département de la Douigny) ont bénéficié pour la circonstance, d’un soutien très remarqué d’un de leur aîné et père, le membre du conseil national du parti démocratique gabonais (PDG), en l’occurrence Edgard MBINA KOMBILA.

Très présent sur le front de l’action social depuis des mois, Edgard MBINA KOMBILA a encore frappé un grand coup le week-end passé. Il a pris en charge les frais d’hébergement de tous les candidats au bac issus de son Moabi natal et mis à leur disposition un bus de type coaster en location, qui s’est chargé de l’acheminement puis de tous leurs déplacements durant le séjour desdits candidats à Tchibanga.

Membre du Conseil national du PDG et par ailleurs directeur général des hydrocarbures, le fils de feu Kombila Ditengou fait véritablement tabac depuis près d’un an dans la petite bourgade de Moabi. Longtemps actif dans le plus grand anonymat en direction de ces mêmes élèves pour qui il avait institué une bourse de soutien aux meilleurs d’entre eux qui obtennaient les plus fortes moyennes dans les matières scientifiques, il s’est régulièrement distingué ces derniers mois par d’autres multiples actions de bienfaisance telles que l’électrification du quartier matoumba dans la commune, la distribution des kits scolaires à travers tout le département en septembre 2021 et le financement des cours de soutien sur l’ensemble de la province de la Nyanga par le biais de l’association G5-Enseignants en mai dernier.

Géophysicien de formation entre autres, cet homme ayant fait une brève carrière dans l’enseignement voue un véritable culte pour tout ce qui est recherche scientifique. Et c’est tout à son aise qu’il entend susciter d’autres carrières dans les domaines tels que l’ingénierie pétrolière, les mathématiques, les sciences physiques, le digital et l’intelligence artificielle etc…

Estimant souvent que les sciences sont l’avenir d’un pays comme le Gabon qui dispose encore d’énormes potentialités en ressources, tant mineralières que minières, il est peut-être temps d’anticiper sur le cours normal des choses en orientant davantage la jeunesse vers des formations qui finiront par nécessiter plus de ressources humaines que les formations littéraires dont il pense que le Gabon en a assez aujourd’hui.