Plus de 250 entreprises locales et 110 entreprises et acteurs économiques provenant d’au moins 30 pays ont pris part à la deuxième mission économique de la Francophonie les 6, 7 et 8 juillet 2022 à Libreville.

Organisée par l’OIF en collaboration avec le Gabon, la deuxième Mission économique de la Francophonie s’est tenue pendant trois jours à Libreville en présence de l’administrateur, Geoffroi Monpetit, du ministre du Commerce, Yves Fernand Manfoumbi et des responsables d’entreprises locales et celles des autres pays francophones invités.

Après les rencontres de prise de contact, la cérémonie officielle a été ouverte. Pour cette séance d’ouverture, le ministre du Commerce et de Petites et moyennes entreprises, Yves Fernand Manfoumbi, a rappelé que « cet évènement est un marqueur important dans le déroulement des activités statutaires de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) ».

Pour l’occasion, ces entreprises locales, celles en provenance d’autres pays de la francophonie plusieurs acteurs économiques durant les trois jours des assises ont pu tisser des partenariats économiques et explorer de nouvelles destinations et opportunités, un véritable réseautage.

Cette Mission économique donne aux participants l’occasion de prospecter des marchés, de discuter d’affaires et de réseauter avec plus de 150 opérateurs économiques gabonais dans les trois secteurs d’activités que sont l’agro-industrie, les énergies renouvelables, les biens et services numériques. Sans nul doute, fait remarquer M. Manfoumbi.

Ces rencontres rentrent dans le cadre d’une nouvelle stratégie économique de la Francophonie élaborée pour la période 2020-2025, autrement dit l’intensification des échanges commerciaux et des investissements dans cet espace. La Francophonie veut se démarquer de l’unique image politique auprès des populations de son espace qui est en quête d’opportunités économiques.

Selon Yves Fernand Manfoumbi, « ce format se voulant innovant, dynamique et structurant, permet à l’OIF de susciter une émulation dans une perspective de compétitivité chez les acteurs économiques ». Pour lui, « il vise à accompagner de manière concrète les entreprises francophones dans leur expansion au niveau international ».