Facebook, c’est ce réseau social qui compte et réunit plus d’un milliard d’utilisateurs dans le monde. Ce réseau social présente beaucoup d’avantages mais il a aussi son revers de médaille. Tout n’y est pas rose et c’est cette expérience que vient de vivre le Francis Edgar Sima Mba, analyste politique, géostratege, consultant international MCCA dont le compte vient d’être piraté.

L’attention du Géopolitologue aurait été attirée par un de ses proches en début de semaine sur une utilisation anormale de son compte. Alerté donc et après constat des faits, un communiqué a été envoyé dans des organes de presse dont notre rédaction a obtenu copie.

Dans ce communiqué, le Géopolitologue informe ses correspondants du piratage de son compte, et « demande aux uns et aux autres d’observer une grande attention quant aux messages qu’ils viendraient à recevoir », de plus en ce qui concerne ses interventions et prises de positions « il précise qu’il fait le plus souvent recours aux canaux de communication officiels, notamment les sites en ligne et la presse écrite pour relayer ses libres propos et participe aux émissions radios et télévisions sur l’actualité nationale et internationale. »

Cet incident n’est pas le premier dans la classe des personnalités politiques gabonais. En 2020 une page Facebook avec le nom du Ministre Dr Max Limoukou avait été créée par des personnes indélicates et sans foi ni loi. Celle-ci faisait état de fausses informations selon lesquelles un premier cas de maladie à Coronavirus aurait été détecté au Gabon. « Je confirme qu’aucun cas de maladie de Coronavirus n’a été ni détecté ni confirmé sur le territoire gabonais » écrit le ministre de la Santé Max Limoukou, sur sa page officielle pour annoncer qu’il a été victime d’un piratage de son comptes Facebook.

Plus d’une année après, en novembre 2021, c’était au tour d’une activiste gabonaise de dénoncer « une usurpation de son identité » sur Facebook.

Ce fait vient interpeller une fois de plus sur ce mal de piratage informatique qui mine le monde des Nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC).

Toutefois, le Géopolitologue prévoit déposer une plainte auprès du parquet de la République pour justice soit faite.