Achevé le 15 janvier 2024, le processus de mise en place du budget de l’État aura été marquée par la diligence et le professionnalisme des équipes techniques de la Direction Générale du Budget et des Finances publiques (DGBFIP).

En effet, tous les travaux relatifs à la présentation du budget 2024 ont été réalisés en respectant toutes les étapes utiles pour les besoins de la cause, notamment, l’envoi de la ligne principale qui contient les autorisations parlementaire en mission, programme action et titre, le référentiel pour la cartographie des unités opérationnelles, la désignation de la chaîne managériale où l’élaboration anticipée de la circulaire de gestion. Ce qui fait dire à de nombreux observateurs aguerris des questions de finances publiques que le travail fourni a été bien fait. C’est pratiquement un exploit auquel sont parvenus les techniciens d’avoir pu mettre en place ce budget en ce début d’année.

Dans le prolongement de cette avancée majeure qui s’inscrit dans la restauration de la fluidité financière gage d’une exécution minutieuse du budget de l’État, le Directeur Général, M.Mintsa Nguema n’a pas manqué d’exprimer son sentiment de satisfaction à l’endroit de ses équipes, lesquelles ont rompu avec une pratique tant décriée par les gabonais, notamment l’opacité et le retard dans la mise en œuvre du programme budgétaire de l’État. L’efficacité retrouvée dans la matrice principale des activités de la DGBFIP marque ainsi le retour de la rigueur et de l’efficacité retrouvée dans la matrice principale des activités de la DGBFIP marque ainsi le retour de la rigueur et de l’orthodoxie financière dans la maison budget.

Par ailleurs, le Directeur Général du Budget et des Finances Publiques, Aurélien Marcel Mintsa Nguema a remercié tous les acteurs sectoriels qui ont fait droit aux demandes de documents formulées par les Directeurs Centraux des Affaires Financières(DCAF) et des Contrôleurs Budgétaires (CB), qui sont respectivement les supports des administrations sectorielles dans le suivi et la bonne exécution du budget et des acteurs majeurs de la réalité des ressources et des charges publiques par le biais des contrôles sur pièces et surtout sur place.

En outre, M. Mintsa Nguema a instruit l’inspection des Services de présenter un programme de travail devant permettre de s’assurer de l’efficacité du dispositif de contrôle interne. Ainsi, le Directeur Général Adjoint du Budget et des Finances Publiques, M. Thècle Wilfried Nzamba Mangala a été mandaté aux fins d’animation et du suivi de la feuille de route clairement déclinée par le Directeur Général du Budget et des Finances publiques.

Une chose est sûre et certaine à la DGBFIP, la restauration des finances publiques dans le sens souhaité par les plus hautes autorités est plus que jamais d’actualité.

Jean Claude Boundzanga