Le 9 mars 2023, notre pays a connu un naufrage causé au large de la mer par un bateau dénommé  » Esther miracle  » qui faisait le sens Libreville _ Port gentil avec un surcharge de plusieurs passagers à bord. Ce naufrage a coûté la vie de plusieurs de nos compatriotes dont les autres corps sont introuvables jusqu’à aujourd’hui.

Un an après, les familles des disparus et les rescapés de ce naufrage ont commémoré le 9 mars 2024 à Libreville cet événement en mémoire des disparus, c’était en présence des autorités de la transition, en tête desquelles le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, Raymond Ndong Sima.

Le Premier Ministre de la Transition a procédé au dépôt de gerbe de fleurs en mémoire des disparus, pour témoigner son amour et sa compassion et renouveller ses condoléances aux familles des disparus.

Selon lui, le Gouvernement dont il est le Chef verra dans quelle mesure il pourra apporter  » Assistance » aux familles.

Aussi, a t _ il souligné, les choses qui arrivent dans la vie peuvent être des signes qui nous sont adressés dont nous ne savons pas toujours faire la bonne lecture et parfois il faut du courage pour le faire.

 » Espérons que Dieu nous apportera à tous, la force nécessaire pour aborder les évènements, tout en supportant les épreuves de la vie, » a t _ il exhorté.

Pour sa part, le 4 ème Vice Président du Sénat de la Transition, le Révérend Georges Bruno Ngoussi a en qualité de Serviteur de Dieu rappelé qu’avant qu’il y ait cet accident de naufrage d’Esther miracle, au niveau de l’Eglise Internationale de Nazareth, nous avons été avertis.

 » Dieu nous avait demandé de l’élever dans notre pays, car les jours sombres étaient déjà décrétés pour le Gabon. Le 25 février 2023, nous l’avons fait, » a t _ il précisé.

Le Révérend Georges Bruno Ngoussi voudrait expliqué que même que même si on évite, on ignore de reconnaître qu’il y a un Dieu qui a créé toutes choses, on se fait toujours rattraper par des évènements, il est le Dieu des temps et des circonstances.

L’homme de Dieu voudrait amener les gabonais, à comprendre la philosophie par les noms des deux bateaux. D’abord, le bateau qui a coulé s’appelait Esther miracle et l’autre qui est venu secourir, piloté par un homme de Dieu s’appelait Céleste. Dieu a voulu nous parler par cet événement que ceux qui étaient là étaient appelés à couler à cause de leur mauvaise gouvernance qui mettait Dieu dehors.

Lorsque les membres du Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI) a posé son acte de bonne gouvernance, ça ne venait pas d’eux, a t _ il déclaré, ils ont remis le Gabon à Dieu, que le CTRI ne puisse pas se tromper de boussole. La véritable boussole du nouveau bateau de la Transition s’appelle donc Céleste dont le seul Capitaine c’est Jésus Christ, sans lui on ne peut rien faire.

Le Président de l’Eglise Internationale de Nazareth n’a pas manqué d’adresser un message de paix et de consolation aux rescapés du naufrage, car a t _ il dit :  » Dieu ne vous a pas sauvé pour rien, il a une mission, avec lui ne restez pas à la morgue, il sait pourquoi il vous a retourné la vie, il vous a redonné la vie pour servir les autres pour ce pays.

Jean Claude Boundzanga