Le référendum national a démarré ce matin dans la commune d’Akanda, marquant une étape cruciale pour l’avenir du Gabon. Dans les différents bureaux de vote du Premier Campement, les opérations ont débuté entre 7h50 et 8h00, dans un climat empreint de sérénité et d’organisation.
Des dispositions inclusives pour un vote accessible à tous
Pour garantir une participation équitable, les responsables ont privilégié le passage des personnes âgées, des femmes enceintes et des personnes en situation de handicap. Ces mesures, saluées par les électeurs, témoignent de l’engagement des autorités à rendre ce scrutin accessible à tous les citoyens.
Les impressions des votants
Maman Aya Simon, résidente du Premier Campement, a exprimé sa satisfaction après avoir accompli son devoir citoyen. « Ce scrutin référendaire est un moment historique pour notre pays. J’ai voté pour le Oui, car ce choix représente une nouvelle page qui s’est ouverte depuis le 30 août 2023. Je suis satisfaite du déroulement des opérations, de l’accueil dans les bureaux de vote, et je salue l’engagement des autorités, notamment du Président Oligui Nguema », a-t-elle déclaré.
Une mission d’observation mobilisée
La mission d’observation, présente sur le terrain dès les premières heures, a également confirmé le bon déroulement des opérations. Leur passage visait à s’assurer du respect des normes et des règles prescrites par le ministère de l’Intérieur, sous la coordination de la Commission électorale.
Un engagement des équipes locales
Les équipes scrutatrices, appuyées par la Commission électorale du référendum, restent mobilisées pour veiller au bon déroulement des opérations dans tous les bureaux de vote de la commune. Les premières observations font état d’une organisation exemplaire, témoignant de la détermination des autorités à garantir un scrutin transparent et inclusif.
Déroulement du vote au premier campement dans la commune dakanda
À Akanda, le processus se poursuit dans un climat apaisé, confirmant une volonté collective de renforcer la démocratie et de faire de ce référendum un succès national.
Emmanuel Manassé Mandingou, notre envoyé spécial
