Secteur des transports teresse: Les syndicats se disent agaves par « les rackets »don les transporteurs sont victimes.
Préoccupé par ces abus qui perdurent et qui impactent la mobilité des usagers, vu que plusieurs transporteurs désertent régulièrement certaines désignations où le raquette est érigé en usage, Le ministre des transports et de la logistique Justin  Ndoundangoye en réponse au préavis collectif de grève en cours et en tant que tutelle, a reçu ce matin les syndicats des transporteurs pour s’enquerir immédiatement de la situation,il a conjurer le triste sort vécu par les conducteurs de taxis, de clandos et de camions qui se disent « systématiquement racketés à tous les points de contrôles de police et de gendarmerie » sur l’ensemble du territoire.

« J’envisage initier une démarche engageant l’autorité de certains de mes collègues de la Défense, de la Sécurité et des Eaux et Forêts, afin de convenir de la définition des points de contrôles communs où seraient aussi affectés des agents du Trésor public pour la perception des frais de contraventions. » a indiqué le ministre Justin Ndoundangoye.
Pendant la rencontre, le ministre a insité « Sur le sens de responsabilité et de vigilance de la  part des syndicats à ne pas prêter le flanc en laissant certains de leurs adhérents mener leurs activités alors qu’ils sont dépourvus des documents afférant à la conduite ou la circulation. »
Cette rencontre a été l’occasion pour les Syndicalistes de souligner quelques difficultés liées au transport;notamment l’absence des airs de stationnement, des parkings et autres services aux transporteurs, une situation prise en compte dans le projet de restructuration du secteur des transports terrestres. Lequel prévoit la construction des gares routières ou encore la numérisation des documents.
« Le racket et les tracasseries policières constituent un fléau que le seul ministre des Transports ne peut résoudre. Il concerne mon collègue de la Défense national qui est ministre d’Etat et celui de l’Intérieur qui est ministre d’Etat. » a indiqué Justin Ndoundangoye ministre du transport et de la logistique.
Un seul exemple pris en partant de l’ancienne gare routière au PK 12, il y a près de 15 postes de contrôle fixes, avec une rotation à 15 heures. Très pénible pour les usagers qui parfois peinent sous la pluie comme sous le Soleil à emprunter un taxi pour une destination quelconque. Ceci dû aux tracasseries policières.

« Il va falloir qu’on se retrouve en commission interministérielle avec le Premier ministre pour discuter point par point sur les réformes, les décrets et les lois à reformuler. La lutte contre le racket et les tracasseries policières nécessite un travail de fond’’, a conclut le ministre Justin Ndondangoye, qui a demandé un mois de trêve aux syndicalistes du secteur des transports terrestres.
Selon la législation en matière de droit de grève, ce début des négociations devait entraîner a la  diminution et même la suspension de plusieurs postes de controle après cette  levée du préavis déposé, au regard surtout de la ferme volonté du ministre Justin Ndoundangoye de privilégier le dialogue permanent avec les partenaires sociaux.