Depuis plusieurs semaines, le Directeur de Cabinet d’Ali Bongo Ondimba, le chef de l’Etat, est l’objet de toutes les attaques, tant dans certains titres de presse, que sur les réseaux sociaux. Un acharnement que le Cercle de Réflexion et d’Actions Citoyennes (CRAC) ne compte surtout pas mettre en sourdine. La réponse du secrétariat général du mouvement associatif ci-dessous. Il est honteux de lire çà et là, dans certains chiffons et torchons de presse des insanités sur le premier collaborateur du chef de l’Etat, son Excellence Ali Bongo Ondimba. Il est navrant de constater la haine s’exprimer contre celui qui a été choisi par le Président de la République lui-même et qui jusqu’ici, lui est demeuré fidèle et loyal, travailleur et compétent. Vers où va-ton désormais ? Pourquoi tant de haine et de jalousie envers celui qui ne demande qu’à accomplir les tâches qui lui sont confiées?
Mais on a tous compris, le problème est ailleurs. Comme le soulignait déjà l’illustre Georges Clémenceau : « En politique, on succède à des imbéciles ». Ce qui dérange dans le fond, c’est la compétence de Brice Laccruche Alihanga. Quoi de plus étonnant ? Le premier collaborateur du chef de l’Etat a une expérience et un curriculum Vitae long comme le bras. D’abord, il est titulaire d’un master II en Finance. Ensuite, il a été tour à tour salarié au sein du Groupe Shell, Sénior Manager au cabinet d’audit international Pricewaterhouse Coopers, Directeur central de la banque gabonaise de développement (BGD), Directeur financier du Groupe, puis secrétaire général et Administrateur Directeur Général à BGFIBank Gabon, Conseiller Financier au Ministère de la Défense puis au transport.
Loin d’être exhaustif, en sa qualité de membre de l’élite dirigeante il a siégé aux différents conseils d’administration d’Ogar, Assinco, Finatra, SGS et SEPBG.
Enfin, peu avant sa nomination au poste de Directeur de Cabinet du Président de la République (DCPR), il a été Administrateur Directeur Général de la Compagnie Nationale de Navigation Intérieure et Internationale (CNNII).
Une expérience riche, qui fait peur ceux qui, bien que tapis dans les ténèbres, savent parfaitement que jamais ils ne l’atteindront à la cheville. Le débat putride entrepris sur les réseaux sociaux poursuit un objectif, semer le trouble et la confusion dans les esprits des gabonaises et des gabonais, faire oublier à ces derniers le rôle essentiel joué par Brice Laccruche Alihanga auprès de son chef, Ali Bongo Ondimba.Tous ces illusionnistes, fins manipulateurs et jaloux de la République oublient une chose majeure : Ali Bongo Ondimba est assuré de la probité de son premier collaborateur. Ces traîtres, rôdés à la conspiration et aux messes basses ont déjà perdu le combat. C’est justement ce qui effraie.
Ali Bongo Ondimba, le chef de l’Etat, est un Dirigeant Modèle, animé par la ferme volonté d’apporter un mieux-être aux populations. Le Directeur de Cabinet est son porte-parole et se tient prêt à agir sous ses instructions, n’en déplaise aux sorciers de la République. Il faut croire que cette parfaite entente entre les deux hommes dérange au plus haut point ceux qui ont jadis échoué, regardé à leurs intérêts propres et saboté l’œuvre du numéro un gabonais.
Nous, le Cercle de Réflexion et d’Action Citoyenne (CRAC) disons Haro à la conspiration, à la diffamation et au mensonge. Trop c’est trop. La félonie de certains qui veulent à tout prix abattre les réels et bons soutiens du chef de l’Etat est simplement inacceptable.
Ce septennat est celui des grands défis. Pour y arriver, le chef de l’Etat compte sur l’ensemble des compatriotes résolus à faire bouger les lignes. Déjà, force est de constater que les réformes initiées pour relancer notre économie portent des fruits. Peu à peu, le Gabon se repositionne sur les rails, la croissance à grande échelle ne devrait plus tarder. Toute chose qui ne semble visiblement pas plaire à ceux qui ont contribué, par des actes de mauvaises gestions dont-ils ont fait preuve, à tirer le pays vers le bas. Ce sont ces charognards, incompétents de notoriété nationale, qui osent ourdir des complots honteux, d’une bassesse à nulle autre pareille contre le Directeur de Cabinet du Chef de l’Etat.
Après avoir échoué aux côtés du président de la République, voilà que dans leurs piètres diableries, ils prennent grand plaisir à agiter leurs marionnettes, obligés de service et factotum de niveau zéro. Mais comme le disait feu Omar Bongo Ondimba : « Le Gabon est un pays de verres ». Cette assertion est plus vraie aujourd’hui qu’elle ne l’était hier. Nous savons tout sur tous. Il n’y a aucune vérité que le temps ne révèle.
Les prochains jours seront décisifs. Qui vivra verra !
Gaetan Evrard Obiang Etoughe
Secrétaire général du CRAC