Décédé vendredi 3 juillet dernier à Libreville des suites d’une maladie, il nous quitte prématurément. Le monde de la communication est jusqu’ici dans la consternation.
Celui qui a rejoint l’Autre Monde et qui devient désormais feu PANTALÉON-VICTOR NGUEMA NDOUME (PV2N) était âgé de 52 ans. Son corps est exposé depuis le début de cette matinée au domicile familial de à Nkembo (2e arrondissement de la commune de Libreville).
Sixième d’une fratrie de neuf (9) enfants, PV2N nourrissait, comme tous ceux de sa génération, des projets. Entre autres, il caressait le rêve d’épouser en 2021 celle qui était l’élue de son cœur. Pour la famille, les intimes et les connaissances, le couple Pantaléon-Victor et Gertrude (PV&G) était déjà constitué. Mais hélas ! On dit : l’homme propose et Dieu dispose…
Samedi 11 juillet dernier le cortège funèbre a quitté Nkembo pour rallier la commune de Ntoum au quartier Soleil (au 1er arrondissement) où la dépouille mortelle du confrère a été  conduite à sa dernière demeure.Ici  Pantaléon Victor Nguema de son vivant  vêtu en chemisette  jaune auprès du député Aurelien Ntoutoume 
Rappelons que Pantaléon-Victor Nguema Ndoume était un professionnel qui laisse le souvenir d’un travailleur infatigable et appliqué. C’est avec passion qu’il a exercé son métier. Pratiquant des arts martiaux, notamment le taekwondo, une discipline dont il était féru. Par ailleurs, dans sa jeunesse, le garçon s’était essayé aux autres sports parmi lesquels le football. Au plan politique, il a postulé, en 2018, aux législatives sous la bannière de l’Union pour la nouvelle République (UPNR) de Me Louis-Gaston Mayila.De son vivant en 2018 aux législatives sous la bannière de l’Union pour la nouvelle République (UPNR)
Pantaléon-Victor laisse Nguema Ndoume une progéniture inconsolable et une famille constituée de 15 enfants et 12 petits-fils. Un mot pour saluer le courage de ce combattant qui a lutté contre la maladie depuis le mois de novembre 2019. Sans désemparer, il est resté à son poste, au cabinet du maire de la commune d’Oyem. Un travail mal rétribué d’après ce que disent ses proches. « Comment comprendre que malgré le travail à l’hôtel de ville d’Oyem, il n’a reçu de contrepartie », explique une source de bonne foi.
Cher confrère, que la terre te soit légère!