Le ministre gabonais de l’Economie et de la relance, Jean Marie Ogandaga

Chaque grand homme d’Etat a toujours besoin de s’entourer des hommes et des femmes de valeur pour l’accompagner dans l’accomplissement de ses missions et des engagements pris devant le peuple.. Le Président gabonais, Ali Bongo Ondimba n’échappe pas à cette vérité immuable.

Depuis son accession à la magistrature suprême, le Président a voulu se départir de ce système présidentiel fort, qui voudrait placer le Président de la République au centre de tout. Il a, à cet effet recruter des hommes et des femmes dans tous les secteurs de la République et rompre ainsi avec les pratiques du passé. Le Président a donc eu, comme tout le monde a pu le constater des hommes et des femmes à qui il a fait entièrement confiance. On les a vu à l’oeuvre, seulement chacun avec ses agissements et ses ambitions..

Un premier groupe, plus indépendant et beaucoup plus bavard que réaliste, s’est avéré au fil du temps être un groupuscule de profiteurs, qui avaient d’autres calculs et dont les ambitions ont éclaté au grand jour au dernier scrutin présidentiel. Le meneur n’était autre que le confident et ancien porte parole le très sulfureux Séraphin Moundounga.

Un autre groupe dont le Chef d’Etat a remis une partie des clés du pouvoir et qui a cru devenir le tour d’un laps de temps Calife à la place du calife. Heureusement pour Ali Bongo sui a su les neutraliser à temps et les mettre la où méditent leur sort actuellement.

Le dernier groupe, qui est constitué, pour la plupart d’hommes et de femmes dont les maîtres mots sont, loyauté, intégrité, abnégation et efficacité, ne comptent pas abandonner le Chef de l’Etat malgré les tumultes de l’heure. Dans ce dernier carré se retrouve Jean Marie Ogandaga, qui, ces derniers temps subit des pressions inexplicables liées à son enregistrement et sa volonté farouche de servir le Président Ali Bongo et le Gabon.

Il faut donc rappeler à ces sbires qui finissent leur énergie sur un homme qui se bat à relever le défi du développement du Gabon, qu’il y’a des hommes fidèles au Président, qui, malgré les temps parfois difficiles ne peuvent abandonner le Chef de l’Etat. Le serment prêté à la’prise de leur fonction est perçu pour eux comme un pacte à ne pas rompre tant que le Président ne leur a pas signifier qu’il mettait fin à leurs responsabilités.

Jean Marie Ogandaga ne compte pas se désarmer pour des broutilles. Le Chef de l’Etat reste le seul capable de le demettre de sa fonction. Il reste fidèle à lui jusqu’au bout, nous a t’il confirmé. La manipulation de la presse ne saurait entamer cet engagement prix il y’a quelques années.

Par Mabimba Joseph