Confrontées au piteux état des routes, les populations du district de Popa dans l’Ogooué Lolo réclament une route praticable.
L’impraticable réseau routier se pointe tel le talon d’Achille dans plusieurs localité du pays. Le district de Popa n’est pas épargné. Les pistes sont boueuses en saison de pluies. Seuls des transporteurs téméraires s’y aventurent, c’est pourquoi les cadres et jeunes entrepreneurs de façon collégiale se sont mobilisés afin de retrousser les manches avec les moyens de bord pour permettre aux parents d’être ravitaillés en produit de premier nécessité, le carburant pétrole etc…
La dégradation avancée des routes à l’intérieur du pays cause bien de soucis aux automobilistes et populations qui y vivent dans ces régions. Ecœurés par cette situation, les populations et cadres de la contrée se sont mobilisé en synergie autour du jeune entrepreneur Ralph Limangoye, pour l’assainissement de leurs route afin de la rendre plus praticable. Ces derniers ont unis leurs forces pour l’entretien routier et voiries, afin de reboucher les innombrables nids de poule.
C’est dans cette optique que Ralph Limangoye, ce Jeune entrepreneur, élite a, suite au glissement de terrain dans sa localité, il y a quelques jours, mobiliser sur le mont Ignonga (route de Popa), les cadre et jeunes qui se sont investi en compagnie du Sous-préfet du district de Popa, pour échanger et trouver une solution dans l’optique de rendre accessible l’accès au véhicule à cette endroit qui sert de trafic.
Il s’est agit de fermer les trous sur le pont de la moualo entre Nzenzelé et Nzambi et d’enlever la grosse mottes de boue qui barraient le chemin à Ignonga, remplir les trous avec les cailloux et ouvrir les canalisations pour une bonne déviation d’eau.
Sachant que Libreville et ses environs, comme à l’intérieur du pays, les nids de poule semblent être un gros soucis pour les populations qui ne veulent pas rester indifférent à ce véritable calvaire pour les automobilistes, et les piétons.
Ainsi, En attendant que le CTRI arrive dans les coins reculés du pays, ils comptent fortement sur le pragmatisme du Président de la Transition à trouver des solution aux difficultés liées à la question de la route.
