Acte 2 pour le Magazine Émergence en partenariat avec la télévision régionale. Le média vient de présenter officiellement à Libreville en présence de la presse nationale et internationale un film documentaire en hommage au numéro un gabonais, le Président Ali Bongo Ondimba chantre de l’émergence.

Après l’hommage au forces de défense et de sécurité, à travers un premier documentaire intitulé « Bravo les codos », une marque de reconnaissance pour ces hommes et femmes en treillis qui jusqu’ici témoignent de leurs volonté et détermination à accompagner le gouvernement dans la lutte contre la pandémie à coronavirus, et surtout veiller à la sécurité des populations. Le Magazine Émergence en partenariat avec la télévision régionale ont annoncés samedi dernier à la faveur d’une conférence de presse la sortie officielle du film documentaire dédié à l’émergence du Gabon par l’entremise de son propulseur, le président de la République Gabonaise Ali Bongo Ondimba.

Présenté par Rodrigue Maïssa Nkoma, responsable du Magazine Émergence, le film documentaire à travers lequel l’hommage a été rendu au président de la République Gabonaise, retrace le parcours atypique, d’un homme fonceur, rempli de courage, de volonté et d’amour pour le développement de son pays. Lui, c’est Ali Bongo Ondimba.

En diffusion sur la Web TV télévision régionale chaîne partenaire, ce documentaire est un ensemble de réalisations…, l’essentiel de la vision du chef, un leader audacieux avec une grande ambition pour son pays.

Sa gouverne, portée sur l’action, a permis au Gabon d’obtenir des résultats majeurs tant sur le plan économique que social.

Posant d’une voix suave à la fois remplie d’émotions, Rodrigue Maïssa Nkoma, commente avec le cœur la prise de pouvoir d’Ali Bongo, lui qui entame son mandat avec l’ambition de changer la donne, tant sur le plan politique qu’économique. Sa première décision qui concerne l’interdiction de l’exportation des grumes marque le début d’une politique volontariste et portée sur la diversification et l’industrialisation pour garantir à la fois des performances économiques et une meilleure redistribution des richesses.
Le Plan stratégique Gabon émergent (PSGE) voit le jour.

Dans ce film documentaire riche d’interventions, le réalisateur cite l’ouvrage d’un célèbre homme de lettre Camerounais le Dr Clément Petsoko intitulé « Ali Bongo Ondimba, le sésame de l’Afrique », ensuite des interventions comme celles; de la présidente de la Cour constitutionnelle, Marie-Madeleine Mborantsuo, des responsables d’associations et ONG, des membres du gouvernement, et de plusieurs personnalités de la société civiles, le cap reste fixé sur le développement du pays. Une vision pour le Gabon, Ali Bongo Ondimba fixe les grandes orientations de sa vison politique et économique autour du Plan Stratégique Gabon Émergent 2025 (PSGE) qui repose sur trois piliers : « Gabon industriel », « Gabon vert » et « Gabon des services ». La marche vers l’émergence est alors enclenchée.

La mise en œuvre du PSGE permet d’obtenir des résultats importants, tant sur le plan économique que social. De 2010 à 2015, les secteurs hors pétrole passent de 55% à 77% dans la composition du PIB du Gabon. Le Gabon passe d’un modèle économique rentier à un modèle productif et créateur de richesses.

Cette transition économique a des effets positifs sur le plan social avec la redistribution des richesses. Sur cette même période, les bénéficiaires de la Caisse nationale d’Assurance Maladie et de Garantie sociale (CNAMGS) atteint le palier d’un million et le nombre de boursier double passe de 15 825 à 30 330. Des investissements conséquents sont faits dans d’autres domaines importants comme ceux de la santé et du btp.

Au travail, et toujours au travail, bref l’amour pour le développement du pays!

Ali Bongo Ondimba est vu comme un réformateur habité d’un courage politique. Son action est marquée par des décisions audacieuses, pragmatiques et cohérentes qui cadrent avec sa vision de développement qui intègre à la fois l’essor économique du Gabon et la redistribution des richesses.

Une partie du chemin a été parcourue et les efforts doivent être maintenus pour garder le cap de l’émergence malgré les difficultés budgétaires de l’Etat liées à la baisse globale du prix du baril de pétrole. Pour le chef de l’Etat gabonais, il faut accélérer les reformes à cette fin et sa décision de mettre en œuvre le Plan de Relance de l’Economie, à l’horizon 2019, cadre avec ambition.

Le chef de l’Etat est victime d’un Avc.

C’est un « signal inquiétant », depuis les couloirs du palais du bord de mer. Du fait de son courage et de sa détermination, il sortira de cette situation, le retour du chef à la maison est annoncé, les gabonais sont mobilisés, l’attente est longue, le tarmac de l’aéroport Léon Mba est remplie du monde, m’algré les mauvaises langues, agitateurs politiques Ali Bongo est là, il reprend du travail.

Ce film documentaire est un voyage au cœur des mandats du président. Un ensemble d’éléments à la fois didactique, présentant des faits authentiques non élaborés pour l’occasion, loin d’une fiction .

Entendant rompre avec une image de perpétuation dynastique du pouvoir, Ali Bongo se présente comme le candidat des jeunes et du changement. Il s’entoure d’une équipe de rappeurs qu’il met au centre de sa communication et de ses meetings . Ils réalisent pour lui la chanson de campagne intitulée « On te suit », un appel à « suivre » le candidat défenseur des jeunes, des femmes, des étudiants, et de tous les Gabonais. Avec son projet d’« Avenir en confiance », Ali Bongo acquiert le soutien d’une partie des jeunes et des artistes, leur assurant un renforcement des structures démocratiques, davantage de lutte contre les inégalités, la construction d’établissements scolaires et d’hôpitaux, et un appui actif aux artistes, par la mise en place d’un système de droits d’auteur.

Dès son élection, Ali Bongo met en place un programme d’« émergence », organisé autour de trois pôles : le Gabon industriel, le Gabon vert et le Gabon des services. Pour contourner l’immobilisme de l’administration, il décide de gouverner par agences placées sous la tutelle directe de la présidence de la République. On voit ainsi naître l’agence nationale des grands travaux, l’agence nationale de l’Habitat, l’agence nationale des parcs du Gabon, ou l’agence des Bourses et stages, entièrement soustraites au contrôle budgétaire du parlement. Parallèlement, des pratiques d’octroi des marchés publics à des entreprises privées appartenant au Président et ses proches sont très vite révélées , et les continuités avec le système de prédation des ressources publiques développé sous Omar Bongo sont mises en évidence.

Rapidement, « l’émergence » devient l’objet d’une défiance manifeste de la part des populations. En effet, le septennat est marqué par une profusion de dépenses ostentatoires de la famille présidentielle et d’événements festifs aux budgets onéreux inversement proportionnels à la déficience croissante des institutions de santé, d’enseignement ou des services en eau et en électricité. Dans le registre de la rumeur comme dans la presse d’opposition.

Le réalisateur de ce film documentaire, est resté concentré sur l’essentiel Rodrigue Maïssa s’est réjouit d’être parvenu à cette conclusion avec la collaboration et le soutien de plusieurs personnalités, soulignant que le film sera projeté après quelques ajustements par le comité technique et pédagogique du Magazine avant une tournée de présentation à l’intérieur du pays et sur tout le territoire national.