Monsieur le Directeur de la publication,
Un article dont le titre est :  » Qui en veut à Cyriaque Vourandjami ? » a été publié dans votre média « Convergence Afrique », le 10 avril 2022, sous la signature de Joseph Keurtys Mabimba. Il m’a été donné de constater que l’auteur de ladite publication affirmait exactement ce qui suit :  » Il faut appeler un certain Thibault proche de Jean-Pierre Oyiba « .
Surpris et ahuri, après avoir pris connaissance des élucubrations d’un journaliste aux ordres voulant faire passer Cyriaque Vourandjami comme un homme à abattre. Ce qui est sans fondement !
L’auteur des écrits qui aurait pu bénéficier des circonstances atténuantes pour avoir utilisé dans son commentaire le verbe « sembler », ce qui prouve qu’il n’est pas totalement sûr de ses racontars, est malheureusement tombé dans le piège du délit de presse, se rendant coupable de diffamation contre ma personne et celle de Jean- Pierre Oyiba, cités nommément et qu’il rend responsables de la prétendue cabale contre Cyriaque Vourandjami. La question que je me pose à juste titre est bien celle de savoir à quel moment Jean-Pierre Oyiba a pu nourrir un tel rêve et dans quel intérêt ? Ce qui me pousse à recommander à votre journaliste visiblement aux ordres de d’abord vérifier des informations si sensibles en les recoupant au besoin avant que d’ensuite les publier. Sachant qu’il est des choses que même l’argent ne répare pas, la dignité par exemple.
Il aurait été sage que l’auteur de ces affirmations calomnieuses fasse le tour de la question avant que de publier son article à charge.
J’affirme le contraire de ce qui est relaté, je n’ai jamais été au 2ème arrondissement pendant mon séjour à Franceville où je me suis retrouvé avec d’autres camarades pour la célébration du 54ème anniversaire du PDG en différé.
Que ledit journaliste intègre le fait qu’au PDG, il est plutôt fait mention dans le respect des instructions du président de la République Ali Bongo Ondimba, de la culture de l’amour, de la concorde et de la solidarité. Qu’il n’attise donc pas inutilement les flammes, y compris en cherchant des boucs-émissaires ci et là pour fragiliser l’unité et la cohésion du groupe tant prônés par le Distingué-Camarade-Président (DCP). C’est pourquoi il lui est vivement recommandé d’arrêter d’accuser sans preuve certaines personnalités dont Jean-Pierre Oyiba.
Dès lors, j’exige que le journal dont vous êtes responsable publie l’intégralité de ce droit de réponse dans le respect des canaux journalistiques.

THIBAULT OKOUMBA
Membre du comité central du 1er arrondissement de Franceville