Après le lancement de la campagne par le Distingué Camarade Président Ali Bongo Ondimba, le candidat du Parti Démocratique Gabonais (PDG) à l’élection présidentielle d’août 2023 à l’esplanade de la gare de Setrag le vendredi dernier, les membres du bureau politique du 2ème arrondissement Owendo avec à leur tête Jeanne Mbagou née Matsougou et Hugues Régis Mayombo ont animé un mega meeting ce lundi au stade de Rougier.

Il était question d’insister sur les atouts du candidat PDG, un homme de principe, au grand cœur qui œuvre sans relâche pour le développement du Gabon.

Les candidats choisis par Ali Bongo Ondimba dans le deuxième arrondissement de la commune d’Owendo ont face à la population de Rougier expliquer le bien-fondé de s’aligner derrière leur porte-étendard; l’homme de la situation capable de fixer le cap un pays en march vers l’émergence. Pour cette étape de campagne, la bataille de l’insertion sociale et professionnelle, en s’appuyant sur toutes les forces du pays, secteur privé comme secteur public, a été abordée par Hugues Régis Mayombo et Jeanne Mbagou afin que quiconque ne se face pas tromper.

Tour à tour, les portes paroles du candidat ont décliné les réalisations d’Ali Bongo Ondimba d’abord sur le plan national, puis à Owendo notamment dans les zones considérées comme oubliées qui ont été désenclavées grâce à son engagement et son amour pour la commune.

Les représentants PDG ont également invité les jeunes à se faire former afin d’être dans le circuit de l’emploi et Hugues Régis dans son exposé a d’ailleurs insisté sur les réalisations dans ces domaines durant ces dernières années (création de la Zone industrielle d’Ikolo en juin 2021).

Ali Bongo Ondimba a détaillé les propositions fortes contenues dans son Pacte social et républicain lors. En effet, il s’engage à créer plus de 8 000 contrats d’apprentissage ; à proposer plus de 30 000 contrats d’insertion emplois, dont 5000 les 100 premiers jours ; à accompagner 30 % de Gabonais économiquement faibles (GEF) dans un programme de réinsertion ; à augmenter la dotation du programme de microcrédit à taux préférentiel au-delà de 9 milliards de francs CFA.