Le Gabon est rempli de clandestins d’origine beninoises, togolaises, burkinabès, maliens, nigerians nigeriens, ghanéens, congolais de RDC…, qui n’apportent rien pour la construction du Gabon, mais qui ne travaillent que pour eux-mêmes, pour leur pitence, qui occupent des emplois parfois réservés aux seuls gabonais, qui jouissent pour certains de la nationalité gabonaise donnée par des tours de passe-passe par l’actuel régime et dont il faudrait les déchoir après le régime PDG et après consultation du peuple par référendum.

Comment ne pas adopter une telle mesure de fermeté lorsqu’on constate qu’aucun de ces pays n’a adressé le moindre message de compassion, de solidarité et de condoléances au peuple gabonais, aux familles éplorées et aux victimes du naufrage dramatique qui a frappé le Gabon dans la nuit du 8 au 9 mars 2023?
La passivité des gabonais a assez duré, il est arrivé le temps de l’humanisme dans la fermeté.

Les étrangers n’ont qu’à regagné leurs pays; le Gabon s’en porterait mieux loin de ce panafricanisme hypocrite et de cette organisation panafricaine en manque d’humanité.
Les gabonais sont avertis: aucun État Africain ne vous aime. Il est venu, le temps de la réaction.
Bon dimanche.

Petit-Lambert Ovono Évaluateur Certifié des Politiques, Président de SOGEVAL