En prélude à la tournée républicaine du chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba dans la province de la Ngounié, qu’une rencontre entre les filles et fils du département de la Mougalaba a eu lieu le vendredi 02 juin 2023 au siège du CESE (Conseil Économique, Social et Environnemental) .
Cette réunion, convoquée par le 2ème vice président de ladite institution en la personne de Nicaise MOULOMBI, a vu la participation de quelques responsables dudit département.
Toutefois, que retenir de cette rencontre fraternelle, c’est aux environs de 11 heures que les ressortissants du département de la Mougalaba ont été reçus au bureau de la troisième personnalité du CESE.
À l’entame des discussions, Nicaise Moulombi a décliné son identité, son parcours professionnel et a surtout insisté sur le fait qu’il est un des nôtres, c’est-à-dire fils de la Mougalaba et c’est en cela qu’il tenait à nous rencontrer.
Aussi, constatant que la province de la Ngounié a 9 départements et que la visite du chef de l’exécutif serait prompte, il nous est revenu à l’esprit que le Président de la République ne pourra pas visiter tous ces départements.
Alors, le 2ème Vice Président du CESE espère que la Mougalaba soit maintenue comme l’une des étapes de la tournée républicaine dans le G4, car la Mougalaba ayant connu des morts dans le cadre du conflit Homme-faune le 2eme vice-président du CESE pense que le passage du chef de l’état va davantage rassurer les populations qui ne sont pas abandonnées.
Le 2eme vice-président n’a pas manqué d’informer les filles et fils de la mougalaba que les paiements promis par le chef de l’état pour destruction des plantations par les pachydermes se poursuivaient au trésor de Mouila.
En somme, il a insisté sur l’odre du jour qui portait essentiellement sur: « comment s’organiser pour accueillir le Président de la République; quel message lui sera t-il adressé? »
À cela, plusieurs propositions ont été mises sur la table.
Toutefois, ces messages doivent tenir compte des aspects de la biodiversité, de l’environnement et du développement de notre contrée.
En plus de ces messages, la réunion a porté sur l’organisation, la logistique, le transport, mais surtout le discours à adresser à notre illustre visiteur. Ce discours devrait tenir compte des réalités des habitants autochtones.
Régis MOUBAMBA a capté l’attention de plus d’un. En effet, ce dernier a fait remarquer le problème du chômage des jeunes.
À ces préoccupations, une liste recensant les jeunes formés et non formés devrait être dressée .
