Parce qu’elles participent au processus de la bonne gouvernance dans le pays que les organisations de la société civile (OSC) sont tout le temps sollicitées pour apporter leur contribution dans tout ce qui concerne la communauté des hommes. Les OSC gabonaises sont à pied d’œuvre partout.

Actuellement, elles sont en conclave depuis lundi 10 juillet dans le siège de l’ITIE (Initiative de transparence dans les industries extractives) au Gabon, dans le 1er arrondissement de la capitale, où elles réfléchissent sur la mise en œuvre de cette dernière (ITIE), autour de la thématique : « Sentinelle, actrice de performance, force de proposition ».

Autrement dit, dans le cadre de la mise en œuvre de l’ITIE Gabon, l’apport des OSC est indéniable. Elles ne doivent en aucun cas être marginalisées, d’autant qu’elles sont au contact quotidien avec les populations dans la recherche à leurs préoccupations. L’un des membres des OSC, à savoir, Petit-Lambert Ovono a expliqué les fondements ces travaux qui prennent fin ce mardi 11 juillet à travers ces éléments de langage : « Les enjeux et perspectives de la validation ITIE du Gabon en juillet 2024, l’économie des ressources extractives comme perspectives de renforcement de la professionnalisation de la société civile impliquée dans la mise en œuvre de l’ITIE au Gabon, le réseautage des acteurs du forum de l’économie des ressources extractives dans le contexte de l’ITIE au Gabon comme contribution significative au développement du contenu local, les leçons tirées du rapport ITIE du Gabon 2021, la participation de l’ITIE-Gabon à la conférence mondiale de Dakar au Sénégal, et perspectives pour le rapport ITIE 2022, la promotion des questions genre, social et environnementales dans la mise en œuvre de l’ITIE et de la plateforme des femmes de l’ITIE-Gabon sans oublier, le débat citoyen éclairé et informé comme clé du renforcement de la confiance multiacteurs ».

En somme, selon cet expert de la société civile : « l’ITIE vise à améliorer la transparence dans la gestion des revenus tirés de l’industrie extractive».

Kevin-aymard Lelengui