Entré dans sa seconde phase en 2020, avec un bilan satisfaisant dans l’ensemble ce projet qui intervient dans quatre régions sanitaires du pays (Haut Ogooué, Ngounié, Ogooué Ivindo et le Woleu-Ntem) vise le renforcement de l’offre des soins par la mise à niveau des infrastructures et des équipements des structures sanitaires périphériques du pays ainsi que l’amélioration de la qualité des prestations de soins.

Lancé depuis 2017, grâce à un programme de développement et d’optimisation de ressources humaines en santé, le PASS 2 (Projet d’appui au secteur de la santé – phase 2), est une volonté du président Ali Bongo Ondimba dont la santé est une priorité majeure inscrite dans la politique nationale de développement sanitaire.

Réalisé grâce au partenariat technique et financier de l’AFD (Agence française de de développement), le projet PASS 2,
permet de matérialiser une conviction forte : de nouveaux hôpitaux pour offrir de meilleures conditions de prises en charge aux populations locales, dans des conditions similaires à celles de la capitale (Libreville).

Le projet de réhabilitation-construction des structures de santé dans les quatre régions concernées est le fruit d’un travail d’équipe qui a mobilisé à travers la composante 1 du PASS 2, à la fois ; la présidence de la République, le Ministère de la santé et des affaires sociales, l’unité de gestion du projet, les architectes ainsi que le partenaire technique et financier (AFD) et les interlocuteurs au niveau local.

En termes de bilan et quelques chiffres clés : 12 structures sanitaires ont été réhabilitées, 45 unités de réanimation complètes installées, 60 000 carnets de santé Mère-enfant produits et distribués, 50 logements d’astreintes construits, 1500 agents formés, 3 centrales d’oxygène installées pour 546 000 personnes impactés.

Rappelons que toutes ces réalisations s’inscrivent, évidemment, dans le cadre de la matérialisation du PAT (Plan d’accélération de la transformation) initié par le chef de l’État Ali Bongo Ondimba. De nombreux Centres médicaux de l’intérieur du pays ont été érigés en hôpitaux départementaux.

l’agrandissement des blocs opératoires, des salles d’accouchement plus spacieuses, désormais d’une meilleure qualité de soins, une joie également pour les professionnels de la santé qui peuvent aujourd’hui exercer dans des plateaux techniques de pointe et par ricochet augmenter la capacité d’accueil de leurs établissements. De telles initiatives restent louables et doivent se faire sur tout le territoire national.