En étant sur place à makokou, capitale provinciale de l’ogooué ivindo au Nord Est du Gabon,nous avions suivi avec beaucoup d’attention le mouvement d’humeur des femmes de makokou déclenché le 7 Août dernier

En étant sur place à makokou, capitale provinciale de l’ogooué ivindo au Nord Est du Gabon,nous avions suivi avec beaucoup d’attention le mouvement d’humeur des femmes de makokou déclenché le 7 Août dernier.
Les véritables causes de ce débrayage étaient axées sur trois points essentiels.A savoir: Repartition équitable de l’enveloppe dédiée aux gabonais économiquement faibles dans l’optique de se lancer dans les activités génératrices de revenues conformément à la vision du chef de l’État Ali Bongo Ondimba, le conflit homme/faune et enfin le paiement des prétendues allocations aux filles mère et veuves.
Les revendications que la Gouverneure Christiane LECKAT voulait bel et bien examiner avec l’ensemble des chefs de services provinciaux concernés par ces points.

Malheureusement,ses détracteurs étaient passés à l’offensive de manière masquée en manipulant les femmes de makokou afin de mener une campagne d’intoxication,de diabolisation,de haine et de désinformation contre l’innocente Christiane LECKAT patronne de l’administration dans la province de l’ogooué ivindo non sans l’accuser d’avoir détourné une enveloppe de deux milliards de francs CFA puis une autre de 7 milliards.Des accusations jugées fausses.

Entre temps,nous avons constaté qu’au bout de 24h du mouvement d’humeur,les ennemis du représentant du chef de l’État ont fait recours au mercenariat politico_mediatique dévoilé.
Ce sont des hommes inconstants, Versatiles et transfuges de plusieurs politiques en perpétuelle quête des positionnements personnels.
En effet, ces « Makovistes » de mauvaise foi on fait appel à plusieurs femmes pour vilipender et s’opposer au gouverneure LECKAT qui certe reconnue pour sa rigueur au travail et n’a aucun passé sombre.

Cependant, certains PDGISTES qui n’ont pas été choisis pour figurer sur la liste présentée aux élections locales seraient des instigateurs de ses turbulences.
A cela s’ajoute certains cadres des partis dites de la majorité et ceux de l’opposition.

Aussi,ce mouvement d’humeur des femmes de makokou a vu l’implication des chefs de quartiers qui encourageaient la gente féminine à faire du désordre dans la rue ,l’on pourrait également citer certains membres du collectif des notables de makokou qui réclament l’arrimage de leurs pensions retraites et pensent que tous les coups politiques sont permis en ce période électorale afin de pérenniser le statut quo dans la province alors que dans leur ensemble ,personne n’a ni action,ni réalisation d’éclat.
Ce ne sont que des rebuts et renégats honnis le plus souvent par ces mêmes populations.
Pendant six jours d’activisme,les femmes instrumentalisées devant nos yeux n’ont pas manqué de propager les fausses informations sur les réseaux sociaux sous la motivation de leurs commanditaires, passibles de sanctions devant la justice.

En outre,une frange des femmes affirment que « Christiane LECKAT n’aurait pas de respect pour des gens et serait orgueilleuse,qu’elle les aurait traitées de poules pondeuses et d’illettrées ». Des affirmations gratuites, incongrues et infondées,ce n’est qu’une machination pour déstabiliser la première autorité de la province qui fait d’ailleurs un bon travail aux dires d’autres populations que nous avions interrogées en marge du mouvement d’humeur.
Aqui Christiane LECKAT s’est elle adressée avec arrogance ? Quand et où exactement ?

Un Gros mensonge concocté par des officines politiques et confié aux femmes de makokou.

Il sied de relever que , plusieurs femmes qui échangeaient avec nous en plein mouvement,nous faisaient comprendre qu’elles n’ont pas un problème particulier avec la gouverneure jusque certains hommes politiques dont elles ont cité les noms leurs demandaient de durcir le mouvement et que le pouvoir tremblerait en cette période de la tenue des trois scrutins à tel point que le gouvernement déboursera une importante somme d’argent à leur faveur avant d’enlever les barricades érigées.
Elles pouvaient nous dire en off  « Nous avions refusé les cent mille francs proposés par le notable Gaston Mokoko dans le but de prendre un rafraîchissement mais nous avions catégoriquement rejeté cette minable somme car nous imposons 50mille par personne, leurs gué guerres, ils vont regler ça entre eux mêmes les politiciens tout en poursuivant qu’elles vont se contenter des dépôts airtel money envoyés par leurs soutiens pour manger dans la rue et boire les bières afin d’être chaudes. »

Et pour terminer,un administré du gouverneure était également au centre de cette machination contre sa hiérarchie,au motif que Christiane LECKAT refuserait de faciliter sa nomination au poste de secrétaire général de la province de l’ogooué ivindo étant donné que l’actuel SG de province devrait faire valoir ses Droits à la retraite.