Ces derniers sont soupçonnés par la Justice de « détournement massif des deniers publics, malversation financière internationale en bande organisée, faux et usage de faux, falsification de la signature du président de la République, corruption active, trafic de stupéfiant».

Placés sous mandat de dépôt à la maison d’arrêt de Libreville ce mardi 20 septembre en soirée, après plusieurs jours de garde à vue à la Direction générale des Contre-ingérence et de la Sécurité militaire communément appelé B2, Noureddin Bongo Valentin et sa bande de la young team cogitent désormais de leurs cupidité au pas des détournements massif des deniers publics, malversation financière internationale en bande organisée, faux et usage de faux, falsification de la signature du président de la République, corruption active, trafic de stupéfiant.

Après avoir été entendus pour les faits de haute trahison contre les institutions de l’Etat, détournement massif des deniers publics, malversations financières internationales en bande organisées, faux et usages de faux, falsification de la signature du président de la République, corruption active et trafic de stupéfiant, Nourreddin Bongo Valentin , Abdoul Oceni, Mohamed Ali Saliou et Ian Ghislain Ngoulou ont été placés sous mandat de dépôt et écroués à la prison centrale de Libreville.

Noureddin Bongo Valentin, Ian Ghislain Ngoulou, directeur de cabinet de Bongo, Mohamed Ali Saliou, son directeur de cabinet adjoint, Abdul Hosseini, un autre conseiller de la présidence, Jessye Ella Ekogha, conseiller spécial et porte-parole de la présidence ainsi que Steeve Nzegho et Cyriaque Mvourandjami, interpelés dans la foulée du coup d’Etat militaire du 30 août dernier qui a conduit à la chute du régime d’Ali Bongo Ondimba, 14 ans au pouvoir, par l’Armée méditent désormais sur leur sort à la Prison centrale de Libreville.