Selon l’Université d’Ottawa
« La Semaine mondiale de l’entrepreneuriat, qui aura lieu du 13 au 19 novembre 2023, inspire les gens partout dans le monde grâce à des activités locales, nationales et mondiales conçues pour les aider à explorer leur potentiel en tant qu’entrepreneur(e)s. »
La SME c’est aussi plus de 180 pays impliqués et plus de 40 000 événements organisés à travers le monde. C’est donc l’occasion idéale d’aborder les sujets qui préoccupent les entrepreneures gabonaises.
Nous, les Femmes Actives du Gabon, avons longtemps milité et œuvré sans demi-mesures pour que les frais de création des entreprises unipersonnelles passent de 85 000 Fcfa à 15 000 Fcfa comme au Cameroun.
Nous avons espéré que Mme Claire Mandza, membre active du réseau, puisse être élue à la tête de la Chambre de Commerce de Libreville parce qu’à nos yeux, personne hormis elle, du haut de ses 32 ans d’expérience au sein de la cette Chambre, ne pouvait mieux défendre la cause entrepreneuriale des femmes gabonaises dont la principale difficulté demeurait de sortir de l’informel pour accéder à un tout autre niveau de prospérité.
Depuis 2022, les élections de la Chambre de commerce de Libreville n’ont jamais eu lieu.
Cependant, le Gouvernement qui a précédé les événements du 30 août a pris la décision de baisser le prix de la création d’entreprises à 15 000 FCfa et même d’octroyer des fonds de lancement d’entreprise aux structures spécialisées dans la microfinance.
Résultat final: avant les élections présidentielles 2023, tous ceux qui ont pu accéder à l’information à temps ont entamé les procédures de création des entreprises individuelles leur permettant d’accéder au statut d’entreprenant.
Un « statut » qui leur confère la possibilité d’exercer en toute légalité leur talent et d’être exonéré d’impôt durant 5 ans.
Nous sommes heureuses de constater que le CTRI a reconduit cette mesure auprès de certaines institutions financières, qui pour la plupart n’ont toujours pas entamé de campagnes promotionnelles à ce sujet.
Alors nous profitons de cette Semaine Mondiale de l’Entrepreneuriat
pour informer les femmes et les hommes gabonais que désormais ils pourront exercer en toute légalité leur métier, leur profession et leurs fonctions en créant à 15 500F au lieu de 15 000F des entreprises
individuelles.
Et pour couronner le tout, si leur idée est bonne, ils pourront recevoir entre 200 000 Frs et 1 500 000 Frs de crédit pour leur lancement officiel auprès de la plupart des structures spécialisées dans la microfinance
telles que la SODEC, la SFE, la FINAM et COFINA pour ne citer que celles-ci… Nous vous encourageons à aller vous renseigner
vous-mêmes auprès de ce type d’institution.
Par contre, si vous préférez traiter avec l’ANPI, les frais de création d’une entreprise individuelle demeure à 85 000 Fcfa. Mystère!
Notez bien aussi que faire du commerce en ligne tel que c’est considéré
au Gabon vendre via Méta (Facebook, Whatsapp et Instagram) n’est pas vraiment un projet crédible pour les institutions financières.
Par ailleurs, on tient pour l’occasion à informer le public, le Gouvernement, la Présidence de la République et même le cabinet de la Première dame, l’ensemble des administrations publiques et privées que
nous, les Femmes actives du Gabon, réunies sur toutes les plate-formes sociales existantes, avons comme nouveau cheval de bataille, de lutter de manière acharnée et sans relâche pour que le vol de projets, l’usurpation de compétences, les tentatives d’intimidation, le harcèlement moral et mental qui sont des pratiques courantes dans le milieu de l’entrepreneuriat ne reste plus impunis.
Nous nous engageons donc, par la présente, à faire de notre mieux, à donner le meilleur de nous pour que le nouveau Gabon que le CTRI nous permet d’entrevoir, alimente nos idées et notre créativité pour sensibiliser le peuple tout entier et les porteurs de projets à ne plus se laisser faire.
On a un nouveau Gabon.
Un nouveau président. Un nouveau rêve s’inscrit dans les mémoires collectives, que le nom et le règne du général Oligui ne soit jamais associé à ce type de malversations.
Ces gens se permettent de briser nos familles, de mettre en péril nos mariages et toutes nos relations amicales et familiales pour nous isoler et marcher sur nos rêves. Ils veulent les piétiner, les réduire à néant,même se les approprier et falsifier notre vision impunément. On vous promet qu’ils ne dormiront plus sur leurs deux oreilles.
#Stop aux perfides trompeurs.
#Stop aux voleurs de rêves.
#Stop aux briseurs de vies.
#Stop au mépris de Loi.
C’est maintenant notre essor vers la #Félicité.
Au nom des Femmes Actives du Gabon, le réseau n°1 au Gabon, créé par Ika Rosira, gérante de SIERRA GABON, depuis le Canada pour promouvoir les compétences féminines du Gabon à travers le monde.
Ici, Virgine Nkouele, en tant que Porte parole du réseau FADG.

Je vous remercie.