L’Association Femme On t’Écoute, fervente défenseur des droits des femmes victimes de toutes formes de violence dont la présidente est Madame Jade Ondo, a orchestré avec diligence la Journée de la Justice Sociale le samedi 23 février dernier. Cette initiative fut une ode à la quête de justice universelle, portée par une sensibilisation éclairée dispensée par des éminentes intervenantes telles que Mme Avome Octavie, éminente chargée de programme en santé de la reproduction, et Bliz Madjindza, assistante éclairée au programme Genre.

Les participantes, majoritairement des femmes avides d’appréhender cette thématique capitale, ainsi que des associations prestigieuses telles que l’Association Nationale des Personnes Handicapées du Gabon, l’Association pour la Lutte et le Bien-Être des Albinos, et le Réseau Femme Lève-Toi, furent honorées de leur présence.

La première allocution s’attela à disséquer le concept de Genre et les violences qui en découlent. Les objectifs didactiques furent clairement définis, visant à élucider la nature des violences de genre, à décrire avec précision les concepts fondamentaux qui les sous-tendent, à recenser les catégories prédominantes de ces violences, à identifier leurs racines et les conséquences potentielles qui en découlent, tout en éclairant l’assemblée sur l’ampleur de ces fléaux au Gabon, s’appuyant sur les données récentes de l’enquête démographique et de santé de 2021.

La seconde intervention se concentra sur les mécanismes de prise en charge et les services disponibles pour les victimes de ces violences sur le territoire gabonais. Elle fut l’occasion de partager une panoplie de dispositifs de soutien, qu’ils soient d’ordre médical, psychologique, social ou judiciaire. Une mention spéciale fut faite au numéro d’urgence 1404, dont la popularisation fut encouragée, tout en incitant les associations et ONG à s’engager dans une démarche de professionnalisation, afin d’offrir un service de qualité supérieure et davantage personnalisé.

En conclusion, il fut souligné avec solennité que la lutte contre les violences de genre requiert l’engagement de chacun, hommes et femmes, tout en prenant en compte à la fois les victimes et les auteurs de ces méfaits, dans une perspective holistique et inclusive.