Une année pénible en cette période de pandémie vient de s’écouler, que l’association Ascorime ne lâche rien dans le combat qui est le sien dans le soutien des populations défavorisés et en a profité pour faire leur bilan des ces activités dans le secteur médicale, où les regrets demeurent encore et toujours une problématique.

Aminata Ondo, présidente engager de l’association Ascorime, a un regard très controversée sur certaines pratiques en milieu hospitalier qu’elle dénonce avec force et abnégation au quotidien.

En effet, l’Association contre le risque médical  (Ascorime) depuis sa création s’est donnée pour mission de lutter efficacement contre les risques et négligences en milieu hospitalier qui est encore légions.
Et depuis, les années qui passent n’ont pas eu l’air d’avoir changé grand chose.

Il faut rappeler que l’association Ascorime est une association qui existe depuis plus  15 ans et qui s’inscrit dans le cadre de la santé. Elle a pour objectif de défendre les droits des usagers et surtout lutte contre les erreurs et négligences médicales, facilite l’évacuation d’un malade en état d’urgence vers l’étranger.

Aminata Ondo, le regret demeure car 2020 a été une année difficile son associés. Encore  des cas de négligences médicales qui entraîne la mort de plusieurs gabonais dans les centres hospitaliers. Une douleur pour la présidente d’Ascorime qui aurait pu sauver quelqu’un malheureusement pour des raisons de prise en charge, ces personnes n’ont pas pu être sauvée.

L’Association contre le risque médical  (Ascorime) n’a cesse de répit depuis sa création. Elle qui s’est donnée pour mission de lutter efficacement contre les risques et négligences en milieu hospitalier. Et depuis, les années qui passent n’ont pas eu l’air d’avoir changé grande chose. « Vous savez que les erreurs et négligences médicales tuent plus que les accidents de la circulation. Donc il faut encadrer cela. c’est un métier noble, un métier que les gens ont choisi librement et qu’ils doivent l’exercer avec beaucoup de coeur, parce que la vie ne s’achète pas. Nous constatons que dans ce domaine il ya  trop de charlatanisme », a-t-elle déclaré.

Pour la petite histoire. Tout récemment une dame évacuée tardivement d’Oyem vers Libreville pour avoir une meilleure prise en charge, en est morte un jour après son arrivée, un décès de trop qui laisse Aminata Ondo dans le regret.

Dans la même logique, Le 28 janvier dernier en matinée, elle se retrouvait une fois de plus à l’Inspection Générale de la santé, pour tenter d’obtenir désespérément un certificat médical devant permettre l’évacuation d’un malade grave vers la Tunisie. « Quand vous aller à l’hôpital, on ne sait pas toujours qui vous reçoit. La santé n’a pas de prix. On peut encore mieux faire, mais l’État doit nous aider » a expliquer Aminata ondo.

Ces faits sont des réalités quotidiennes pour Ascorime qui ne ménage aucun effort à travers sa présidente pour sauver à chaque fois, des vies au nom de la politique sociale du Chef de l’État gabonais.
Aujourd’hui l’association Ascorime avec plus de 6000 adhérents qui continue à adhérer à la prise en charge, adhérent à la vision de la solidarité parce que seul on ne peut pas se soigner.

L’Association Ascorime a été créée pour partager avec l’ensemble des gabonais l’espoir de voir qu’ont les traite dans des conditions acceptables parce que une erreur médicale de façon vulgaire part de beaucoup de choses. Ya la négligence qui peut entraîner le décès d’un patient. « Nous sommes déçus car nos propositions ne sont pas pris en compte », a-t-elle ajoutée en guise de conclusion.

Par Kévin E