Depuis l’annonce en grande pompe de l’opération dite «libérez les trottoirs», par la mairie de Libreville, rien ne semble bouger de ce côté. Malgré le néant constaté autour de cette opération, les agents de la DGFR continuent de multiplier des actes de rackets auprès des commerçants au vu et au su de l’hôtel de ville de Libreville.

Par contre on est en voie de se poser la question de savoir si l’hôtel de ville de Libreville ne serait pas en train de légaliser cette anarchie. Comment comprendre que la DGFR puisse envoyer ses agents distribuer les timbres sur un terrain que l’édile de la capitale a décidé de « voir claire ». 

C’est le calvaire que vivent les commerçants(e) des charbonnages. Une situation rocambolesque depuis le jeudi dernier où ils se sont vus distribuer des tickets de 1000 fcfa par commerçant(e) chaque jour.

D’où est sortie l’opération «libérez les trottoirs».Pourquoi certains agents se permettent-ils de vouloir faire couler la maison mairie ? Existerait-il un sentiment mission suicide à l’hôtel de ville de Libreville ? Autant d’interrogations que l’on pourrait se poser au regard de l’anarchie orchestrée par certains individus au sein de la mairie de Libreville.

Certains agents de la mairie de Libreville, tapis dans l’ombre, seraient à la manœuvre. Ils seraient les maîtres penseurs des opérations de déstabilisation du maire. Mais Il est essentiel pour ces individus, qu’ils sachent qu’on ne peut pas couper la branche sur laquelle on est accroché. Être surveillant général d’un marché tel que celui d’ambowè (charbonnages) ne veut pas dire qu’on est au-dessus du maire.

Affaire à suivre…